jeudi 9 juillet 2009

plus pareil, pitié

C'est logique que certaines personnes t'interpellent plus que d'autres.. une intelligence évidente et aussi le coté obscur...

Il y a cette notion de correspondance mais ca m'interpelle que pour découvrir ca, tu doives passer par une parade codée terriblement similaire d'une histoire à l'autre et que du coup tu attaches de l'importance à un truc que t'as déjà vécu 14 fois de la meme manière en sachant pertinement que ca n'a mené nullepart

Je n'ai plus envie de reproduire les memes codes, pour ne plus rencontrer les memes personnes je crois...

(Merci aux gens qui aujourd'hui, supportent ma crise et répondent à mes interrogations courageusement...)

10 commentaires:

Anonyme a dit…

De rien, c'est ma pause chichon.

Red Censo a dit…

te faut au moins ca :)

Anonyme a dit…

Tu m'etonnes. Si j'osais fine (Suis en plein trip Bashung, sorry), je demanderais une grasse (haha).

Red Censo a dit…

fais toi un macdo, t'auras du gras :D

Anonyme a dit…

Vont me faire une remise de peine pour tant de don de moi, tu crois ?

Red Censo a dit…

non tu peux creuver ! Le capitalisme ne fait pas de remise !

Anonyme a dit…

Tant pis, j'ai une étique : mes doigts luisants ne seront que résultantes de luxure.

Red Censo a dit…

Faut admettre que la luxure a toujours été un meilleur créneau que la gourmandise (encore que ca peut être lié, faut pas le négliger)

apres, faut pas se faire reluire toute seule, c'pas drole :D

Anonyme a dit…

Oh pour se genre de choses on trouve toujours quelqu'une qui aide, on trouve souvent une chaude sûre à son pied à prendre, mais ce n'est pas très...reluisant.

C'est pas l'tout, mais aprés ce jeu de mots digne du meilleur Devos (j'ai aussi le droit d'y croire moi aussi hein), et ces échanges plus que plaisants, je m'en vais disparaitre dans les méandres des pixels.

Anonyme a dit…

D'un côté, trop attacher d'importance aux codes et au superficiel, forcément, mène à ce stade.
De l'autre, il ne faut effectivement pas s'étonner si, en suivant de nouveau les mêmes sentiers, on parvienne au même endroit.