samedi 16 mai 2009

Un vendredi sur la terre

J'aime la voir sourire à l'heure où les sourires semblent devoir être arrachés aux tombeaux de l'apocalypse. Je sens ce lien indéfectible qui s'anime lorsque nous nous retrouvons. Il y a tant de choses à vivre...

Et je refuse de la voir partir, à une heure indûe, alors qu'elle devrait sombrer dans un sommeil appaisé et réparateur, dans mes bras. Le crève-coeur de la voir lutter contre son corps est intolérable.

Hier soir, des choses ont été dites... Des choses qui mettent le coeur en feu. Incendie de bonheur incontrolable, même lorsque la raison rappelle qu'il ne faut pas s'emballer trop vite.

Je l'aime.

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