Tant que tu en es là, autant disséquer un bon coup, ce sera toujours un pas fait en avant, même si la douleur du scalpel est intransigeante.
Regarde, touche, goute, respire et écoute les sacades de ton âme ! On ne meure pas de s'explorer, on vit avec ce que l'on découvre. Et si finalement, il y a une fin à tous les jeux, tu auras tout le loisir de choisir où, quand, et comment !
Allez, embarque tes cinq kilos de bidoche faisandé sous le bras.. Peut-être que quelqu'un t'aidera à les porter.. Sans craindre... Sans te craindre...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire