dimanche 7 septembre 2008

paradoxe

Le paradoxe c'est d'être vendredi soir completement déchirée à des mélanges divers et variés, avec mes potes, entourée de gens super sympas, a danser sur de la daube et là je dois faire une parenthèse :

J'ai beau adorer l'electro sous toutes ces formes en boite, et me mettre à hurler sur du gossip (c'est pas de l'électro mais je crie qd meme) (tout en révant qu'un jour kaiser chief passe ) .. J'ai constaté que rien, absolument rien, ne pourra valoir la diffusion d'un titre d'indochine .. Tout le monde connait, tout le monde hurle, tout le monde chante toutes les paroles en sautant sur place ! Il n'y a rien qui pourra surpasser un tube pareil (et ca marche aussi avec Gloria ou Lio) .. La mémoire collective sera toujours plus forte que l'appréciation personnelle...

Parenthèse fermée, je parlais donc de paradoxe.. Parce que samedi, j'ai eu un besoin irréprécible de silence, de solitude, de paix ! et j'ai passé l'après-midi à la bibliothèque à dévorer un bouquin ! Sans parler à personne, sans que personne ne me saoule, sans bruit, sans rien !

Je suis passée d'une fureur surpeuplée au calme de la solitude ! C'est définitif, je ne peux absolument pas me définir par rapport à mes activités et mes envies.. On est plusieurs à l'intérieur c'est obligé ;-)

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