dimanche 29 juin 2008

Extasie ta vie !

Lorsque l’on pense au mot « amour », la première image qui nous vient est celle du prince charmant ou de la belle princesse, selon les gouts. Ce romantisme mielleux est enraciné en nous comme une mauvaise herbe dans un potager.

Depuis l’enfance, nos lectures, nos visionnages divers et variés, nous laissent croire que tout fini bien à la fin et que les plus belles histoires d’amour sont aussi les plus douces. Je crois que tout le monde en revient, à part quelques exceptions, chanceuses ou non, qui rencontrent leur pâte à tartiner rapidement. Pour les autres, les déceptions et les histoires glauques se succèdent inexorablement, entre espoir et désillusions.


Contrairement à la pensée commune, l’amour hors des sentiers battus est loin d’être si rare mais qui oserait raconter ce qui se cache derrière les portes closes ? Prenez comme exemple le film ‘histoire d’o » qui est certainement devenu un film culte aujourd’hui. Ce film parle d’amour, d’un amour si fort que l’abnégation et le don de soi est total. Bien peu de gens connaissent ce sentiment là. Vivre dans l’excès, même si les conséquences sont parfois dangereuses, c’est vivre et personne ne me fera croire qu’une vie moyenne, avec un job moyen, dans une ville moyenne, auprès d’une personne moyenne, vaut la peine d’être vécu et a le potentiel excitation pied au plancher.


J’entend souvent dans mon entourage des femmes dirent qu’elles ont trouvé la femme de leur vie, non pas sur des critères intellectuels ou sociaux mais uniquement sur des critères excitations, que ce soit sexuel ou comportemental. Soudain, leur vie prend un tournant palpitant, différent, troublant et l’addiction est immédiate et totale. Toute la force de cette relation réside dans la capacité à se laisser embarquer par l’autre vers l’inconnu, quelques soit les peurs et les doutes.

C’est en franchissant des barrières que l’on croyait immenses, que l’on découvre qui l’on est vraiment.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Franchir ses barrières les plus hautes c'est autant s'ouvrir à des bonheurs plus grands que prendre le risque de chutes plus douloureuses. Tout est affaire de choix : faut-il regretter toute sa vie de ne pas avoir succomber, ou bien souffrir un temps d'avoir osé ?